Guillaume Levesque

Je suis né à Bordeaux le 14 mars 1973, d’un père dirigeant d’entreprise et d’une mère professeur de lettres classiques au lycée, dans l’enseignement catholique.

Après un Bac D puis mon diplôme de l’école de commerce nantaise Audencia (à l’époque ESC Nantes), j’ai passé près de deux ans à vivoter de mes piges de l’Eperon, puis, tout en continuant à collaborer au magazine, j’ai été un an rédacteur chez Hors Ligne, une boîte parisienne spécialisée dans « la rédaction de compte rendu à haute valeur ajoutée de réunions stratégiques d’entreprises ».
A l’époque, je vivais en Mayenne, tout près de Château-Gontier où ma fille aînée Hermance est née. Ensuite, j’ai rejoint la ville de mes études, Nantes, en occupant le poste d’Ingénieur commercial dans les gros systèmes informatiques chez Bull. Par la suite, j’ai rejoint depuis janvier 2006 l’entreprise de mon père, aux portes de Nantes, en tant que Responsable export puis Directeur des ventes Europe et maintenant Directeur général. Cette PME est spécialisée dans la conception, la production et la commercialisation d’un équipement de manutention du BPE (béton prêt à l’emploi), appelé tapis convoyeur à béton embarqué sur camion-bétonnière. Après ma séparation d’avec mon épouse, je suis parti m’installer à la Baule où je suis marchand de biens, dans l’immobilier. Mes deux filles Hermance et Florisse, passionnées elles aussi de poneys et de chevaux, vivent à Nantes avec leur mère.

C’est de ma famille paternelle que la passion des chevaux m’est venue, au départ certainement de la chasse à courre. Mon Grand-Père est Général de cavalerie à la retraite et a toujours beaucoup monté à cheval, ma grand-mère avait pour cousin germain le Général O’Delant (longtemps Président de la SHF) et mon oncle, le Colonel Patrick Levesque, après avoir été 15 ans écuyer du Cadre Noir, a terminé sa carrière en dirigeant la section équestre de l’Ecole militaire à Paris. J’ai commencé à monter la ponette Shetland dans la propriété de la périphérie nantaise de mes grands-parents. Nous l’avons fait pouliner et avons pu ainsi monter un jour à deux, ma sœur et moi et mes cousins. Puis, je suis monté en Poney-club (à Saint-Médard-en-Jalles près de Bordeaux, à La Baule et à Fontainebleau) puis à cheval (la SHN de Fontainebleau où j’ai vécu quatre ans sera mon meilleur souvenir), passant mes examens traditionnels, sans néanmoins beaucoup sortir en concours car je n’avais pas mon propre cheval – seuls deux CSIJ (plutôt de niveau B2) courus à Porto-Rico constituent une expérience sportive intéressante dans mon bagage équestre.

Pour tout le reste, je vous invite à consulter le site de mon élevage : www.haras-de-florys.com